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mercredi 30 juin 2010

Des marchés publics, il en pleut un peu partout

La tendance vers les circuits courts fait du chemin, que l'on parle de vente de produits à la ferme, de visites agrotouristiques ou encore de marchés publics. On se rappelle, il y a quelques années, ces marchés étaient marginaux et souvent utilisés par une classe de gens à part, un peu grano.

De nos jours, il n'y a pas une région qui n'a pas sont lots de marchés publics et c'est tant mieux. L'idée étant de valoriser et de faire consommer des produits de la région afin limiter le transport de produits venus de loin, tout en adhérant, souvent sans le savoir, à certains aspects du développement durable dans son milieu. Les marchés publics sont sûrement une solution d'avenir plus qu'une simple mode.

La saison estivale nous permet donc de consommer des tomates - un exemple parmi tant d'autres - de la région et cela limitera les effets de transport de denrées provenant de d'autres pays ou de d'autres provinces. Bien que l'hiver nous oblige - pour l'instant - à consomer des produits provenant des pays chauds, ne soyons pas trop surpris de voir de plus en plus d'entreprises se spécialiser dans la production de fruits ou de légumes en serre afin d'augmenter la période de production et aussi de limiter les dommages environnementaux causés par le transport de denrées et là je ne parle pas des frais de transport qui ne cesseront d'augmenter.

Nous avons déjà l'habitude de favoriser l'achat local avec certains produits comme les fraises, les framboises et le blé d'inde, il est tant d'aller plus loin et de lire les étiquettes afin de développer ce reflexe de l'achat chez nous.

Les marchés publics sur le territoire de Tourisme Érable

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